La septième diabolique / Adrienne Weick

Victimes d’une panne de train, un ex-auteur à succès et un étudiant, réunis bien malgré eux, échouent dans un manoir du Cotentin.
La découverte d’une correspondance soigneusement dissimulée depuis plus d’un siècle va déclencher une enquête.

À la poursuite d’un secret criminel datant du Second Empire, nos deux détectives improvisés remonteront le temps à travers les vestiges des combats de 1871 pour élucider l’énigme.

2022 – Robert Laffon

L’avis d’Olivier K.

J’ai adoré ce livre. L’auteure manie le suspens avec brio. Une sorte de Hercule Poirot modernisé avec un écrivain dans le rôle du célèbre détective et un jeune étudiant dans le rôle de Arthur Hastings, son compère.
A la fin de chaque chapitre on attend la suite. Plusieurs rebondissements et une fin qui révèle un méchant inattendu. Du très bon roman policier.

L’avis de Gérard C.

Ce roman n’est pas désagréable à lire mais les ressorts de l’intrigue sont pleins d’invraisemblances et les personnages superficiels. Toutefois, j’ai suivi leurs aventures sans déplaisir, mais sans être pris par l’histoire, un peu comme on écoute parler de quelqu’un que l’on ne connaît pas. Par contre ce roman donne envie d’aller un peu plus loin dans la connaissance de Barbey d’Aurevilly

L’avis de Vanessa L.

La 7 ème diabolique, en référence à Barbey d’Aurevilly, est un roman à découvrir sans hésiter. Ce livre est un roman à tiroirs où on découvre des secrets tout du long pour arriver à une fin passionnante. Ce roman donne envie de relire les Diaboliques de Barbey d’Aurevilly, un trésor de suspens et d’humour.

L’avis de Pascale C.

J’ai aimé un peu ce roman dont les personnages semblent plus appartenir du XIXème siècle qu’à notre époque. L’intrigue est néanmoins intéressante bien que compliquée, comme un roman feuilleton de l’époque.

L’avis de Christine L.

Je ne me suis pas attachée aux personnages mais ce qui m’a fait tenir ce sont les références historiques réalistes à travers l’écrivain polémiste Jules Barbey d’Aurevilly que j’ai découvert et aussi les moments historiques peu connus : la Commune de Paris (1871) et le lieu : une ville bourgeoise du Cotentin, Valognes.
J’aime beaucoup les romans qui mélent histoire et action mais je n’ai pas eu plaisir à suivre l’enquète  car trop d’invraisemblances et trop grand nombre de personnages. On se perd dans la  généalogie, les secrets de famille mais qui malgré tout montrent les conséquences dramatiques des non-dits.
Avis mitigé : je n’ai pas été embarquée par le style de l’auteure.


À retrouver (entre autre) à la Médiathèque de Bruz

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